Selon des recherches de l’université d’État de l’Iowa, l’utilisation d’antibiotiques chez les porcelets a augmenté de 379 % après une épidémie de SDRP. Chez les porcs plus âgés, l’augmentation est de 274 %.

Le SDRP ne provoque pas seulement des maladies. Il affaiblit le système immunitaire, rendant les porcs plus vulnérables aux infections secondaires qui nécessitent souvent davantage d’antibiotiques.

Le porc résistant au SDRP a été développé pour aider aux éleverus à prévenir l’infection dès le départ, ce qui pourrait permettre de réduire la morbidité globale de leur troupeau et, par conséquent, leur recours aux antibiotiques.